Cristian Ochoa
Architecte
Construire en terre… dans le monde
« Je suis originaire d’Amérique latine, de l’Equateur. Là-bas aussi on construit en terre (on appelle cela « tapial ») avec la même technique : coffrage bois, compactage de la terre par couches… Partout dans le monde, en Chine, en Afrique, là où il y a de la terre, un peu d’argile, un peu d’eau, on peut faire quelque chose.
Maçons : piseur or not piseur ?
(Pour le projet « Chèzeneuve)
Nous voulions travailler avec des entreprises locales. J’ai donc travaillé avec des maçons « classiques », qui ne connaissaient pas la terre. Lorsque je leur ai exposé le projet, ils étaient un peu « curieux », mais je leur ai garanti que tout se passerait bien. Les plans étaient précis, la coordination avec le charpentier très calée.
C’est finalement une belle expérience car malgré l’appréhension des maçons au moment de faire de grosses ouvertures, il y avait un climat de confiance dans l’équipe, le charpentier était toujours présent, il montait ses cadres bien préparés… Nous avons aussi montré aux maçons comment faire des rebouchages avec des mélanges de terres, ils se sont très bien débrouillés…
Ce qui fut très agréable, devant le résultat très réussi, c’est qu’ils nous ont remerciés de leur avoir fait découvrir tout ce qu’on pouvait faire avec la terre… « Nous étions habitués au béton, mais l’alliance de la terre et du bois donne une autre allure, nous allons essayer de renouveler l’expérience » !
Terre, bois, métal, verre…
Nous croyons que l’avenir de la construction en terre doit s’envisager dans la « collaboration » de ce matériau avec d’autres, et pas dans une forme de « ghettoïsation » de la terre. L’idée est de faire découvrir la beauté de ce matériau pour susciter l’envie de l’utiliser et de le marier avec d’autres. C’est ainsi que nous pourrons transmettre au plus grand nombre le goût de la construction en terre… »
Cristian Ochoa
Architecte
Construire en terre… dans le monde
« Je suis originaire d’Amérique latine, de l’Equateur. Là-bas aussi on construit en terre (on appelle cela « tapial ») avec la même technique : coffrage bois, compactage de la terre par couches… Partout dans le monde, en Chine, en Afrique, là où il y a de la terre, un peu d’argile, un peu d’eau, on peut faire quelque chose.
Maçons : piseur or not piseur ?
(Pour le projet « Chèzeneuve)
Nous voulions travailler avec des entreprises locales. J’ai donc travaillé avec des maçons « classiques », qui ne connaissaient pas la terre. Lorsque je leur ai exposé le projet, ils étaient un peu « curieux », mais je leur ai garanti que tout se passerait bien. Les plans étaient précis, la coordination avec le charpentier très calée.
C’est finalement une belle expérience car malgré l’appréhension des maçons au moment de faire de grosses ouvertures, il y avait un climat de confiance dans l’équipe, le charpentier était toujours présent, il montait ses cadres bien préparés… Nous avons aussi montré aux maçons comment faire des rebouchages avec des mélanges de terres, ils se sont très bien débrouillés…
Ce qui fut très agréable, devant le résultat très réussi, c’est qu’ils nous ont remerciés de leur avoir fait découvrir tout ce qu’on pouvait faire avec la terre… « Nous étions habitués au béton, mais l’alliance de la terre et du bois donne une autre allure, nous allons essayer de renouveler l’expérience » !
Terre, bois, métal, verre…
Nous croyons que l’avenir de la construction en terre doit s’envisager dans la « collaboration » de ce matériau avec d’autres, et pas dans une forme de « ghettoïsation » de la terre. L’idée est de faire découvrir la beauté de ce matériau pour susciter l’envie de l’utiliser et de le marier avec d’autres. C’est ainsi que nous pourrons transmettre au plus grand nombre le goût de la construction en terre… »
Cristian Ochoa
Architecte
Construire en terre… dans le monde
« Je suis originaire d’Amérique latine, de l’Equateur. Là-bas aussi on construit en terre (on appelle cela « tapial ») avec la même technique : coffrage bois, compactage de la terre par couches… Partout dans le monde, en Chine, en Afrique, là où il y a de la terre, un peu d’argile, un peu d’eau, on peut faire quelque chose.
Maçons : piseur or not piseur ?
(Pour le projet « Chèzeneuve)
Nous voulions travailler avec des entreprises locales. J’ai donc travaillé avec des maçons « classiques », qui ne connaissaient pas la terre. Lorsque je leur ai exposé le projet, ils étaient un peu « curieux », mais je leur ai garanti que tout se passerait bien. Les plans étaient précis, la coordination avec le charpentier très calée.
C’est finalement une belle expérience car malgré l’appréhension des maçons au moment de faire de grosses ouvertures, il y avait un climat de confiance dans l’équipe, le charpentier était toujours présent, il montait ses cadres bien préparés… Nous avons aussi montré aux maçons comment faire des rebouchages avec des mélanges de terres, ils se sont très bien débrouillés…
Ce qui fut très agréable, devant le résultat très réussi, c’est qu’ils nous ont remerciés de leur avoir fait découvrir tout ce qu’on pouvait faire avec la terre… « Nous étions habitués au béton, mais l’alliance de la terre et du bois donne une autre allure, nous allons essayer de renouveler l’expérience » !
Terre, bois, métal, verre…
Nous croyons que l’avenir de la construction en terre doit s’envisager dans la « collaboration » de ce matériau avec d’autres, et pas dans une forme de « ghettoïsation » de la terre. L’idée est de faire découvrir la beauté de ce matériau pour susciter l’envie de l’utiliser et de le marier avec d’autres. C’est ainsi que nous pourrons transmettre au plus grand nombre le goût de la construction en terre… »
Magued Sabbagh
René Deschamps
Mr et Mme Bellaton
Cristian Ochoa
MAÇON PISEUR
Nicolas Meunier
Mr et Mme Wismer
Milena Stefanova
Hervé Martineau
Vincent Rigassi
Jean-Philippe Bosland
Magued Sabbagh
Cristian Ochoa
Milena Stefanova
Jean-Philippe Bosland
Magued Sabbagh
René Deschamps
Mr et Mme Bellaton
Cristian Ochoa
MAÇON PISEUR
Nicolas Meunier
Mr et Mme Wismer
Milena Stefanova
Hervé Martineau
Vincent Rigassi
Jean-Philippe Bosland