TERRE ET TERRITOIRES
LA DIMENSION CULTURELLE
Depuis quelques décennies pourtant cette relation intime entre territoires et habitats a été gommée par une certaine banalisation sous l’effet d’architectures et de techniques constructives standardisées.
Mais à l’heure de la transition énergétique et du développement durable, les nouvelles stratégies territoriales montrent un regain d’intérêt pour des aménagements et des constructions « éco-sourcés », dont le pisé est une des expressions les plus emblématiques.
LA DIMENSION ENVIRONNEMENTALE
GAZ À EFFET DE SERRE
ÉNERGIE GRISE
LA DIMENSION SOCIO-ÉCONOMIQUE
ÉCONOMIE INCLUSIVE
Le maitre d’ouvrage qui conçoit le programme, l’architecte et les bureaux d’étude qui en précisent la forme, les entreprises qui s’organisent entre elles pour gérer le chantier, les professionnels spécialisés qui en accompagnent l’évolution, les usagers qui occupent le volume bâti, jusqu’à ceux qui en signent la démolition ou le recyclage en fin de vie… Tous ces acteurs composent un écosystème local, paysage économique d’un territoire.
La construction en pisé mobilise des savoir-faire et du travail qualifié. Quand ces compétences sont mobilisées à proximité du site de construction, tout comme le matériau lui-même, on entre dans un processus d’économie inclusive.
INTENSITÉ SOCIALE
La réalisation d’un mur en pisé demande beaucoup de main-d’œuvre qualifiée, et très peu de moyens mécaniques. Il faut en moyenne 6 heures et demie de travail pour un mur en pisé, contre 2 heures et demie pour un mur en béton. Le potentiel de création d’emploi, ou intensité sociale est donc très dépendant des techniques mises en œuvre.
SPÉCIALISATION PISÉ
TERRE ET TERRITOIRES
LA DIMENSION CULTURELLE
Depuis quelques décennies pourtant cette relation intime entre territoires et habitats a été gommée par une certaine banalisation sous l’effet d’architectures et de techniques constructives standardisées.
Mais à l’heure de la transition énergétique et du développement durable, les nouvelles stratégies territoriales montrent un regain d’intérêt pour des aménagements et des constructions « éco-sourcés », dont le pisé est une des expressions les plus emblématiques.
LA DIMENSION ENVIRONNEMENTALE
GAZ À EFFET DE SERRE
ÉNERGIE GRISE
LA DIMENSION SOCIO-ÉCONOMIQUE
ÉCONOMIE INCLUSIVE
Le maitre d’ouvrage qui conçoit le programme, l’architecte et les bureaux d’étude qui en précisent la forme, les entreprises qui s’organisent entre elles pour gérer le chantier, les professionnels spécialisés qui en accompagnent l’évolution, les usagers qui occupent le volume bâti, jusqu’à ceux qui en signent la démolition ou le recyclage en fin de vie… Tous ces acteurs composent un écosystème local, paysage économique d’un territoire.
La construction en pisé mobilise des savoir-faire et du travail qualifié. Quand ces compétences sont mobilisées à proximité du site de construction, tout comme le matériau lui-même, on entre dans un processus d’économie inclusive.
INTENSITÉ SOCIALE
La réalisation d’un mur en pisé demande beaucoup de main-d’œuvre qualifiée, et très peu de moyens mécaniques. Il faut en moyenne 6 heures et demie de travail pour un mur en pisé, contre 2 heures et demie pour un mur en béton. Le potentiel de création d’emploi, ou intensité sociale est donc très dépendant des techniques mises en œuvre.
SPÉCIALISATION PISÉ
TERRE ET TERRITOIRES
LA DIMENSION CULTURELLE
Depuis quelques décennies pourtant cette relation intime entre territoires et habitats a été gommée par une certaine banalisation sous l’effet d’architectures et de techniques constructives standardisées.
Mais à l’heure de la transition énergétique et du développement durable, les nouvelles stratégies territoriales montrent un regain d’intérêt pour des aménagements et des constructions « éco-sourcés », dont le pisé est une des expressions les plus emblématiques.
LA DIMENSION ENVIRONNEMENTALE
GAZ À EFFET DE SERRE
ÉNERGIE GRISE
LA DIMENSION SOCIO-ÉCONOMIQUE
ÉCONOMIE INCLUSIVE
Le maitre d’ouvrage qui conçoit le programme, l’architecte et les bureaux d’étude qui en précisent la forme, les entreprises qui s’organisent entre elles pour gérer le chantier, les professionnels spécialisés qui en accompagnent l’évolution, les usagers qui occupent le volume bâti, jusqu’à ceux qui en signent la démolition ou le recyclage en fin de vie… Tous ces acteurs composent un écosystème local, paysage économique d’un territoire.
La construction en pisé mobilise des savoir-faire et du travail qualifié. Quand ces compétences sont mobilisées à proximité du site de construction, tout comme le matériau lui-même, on entre dans un processus d’économie inclusive.
INTENSITÉ SOCIALE
La réalisation d’un mur en pisé demande beaucoup de main-d’œuvre qualifiée, et très peu de moyens mécaniques. Il faut en moyenne 6 heures et demie de travail pour un mur en pisé, contre 2 heures et demie pour un mur en béton. Le potentiel de création d’emploi, ou intensité sociale est donc très dépendant des techniques mises en œuvre.